"On va voir les vaches ?"
Chevaux probablement croisés avec la race Mangalarga paulista.
Tous waterproof ;)
Le Mangalarga paulista est une race brésilienne rustique, adaptée aux conditions équatoriales, particulièrement défavorables aux chevaux : sols détrempés qui pourrissent les sabots, parasites internes et externes qui prolifèrent, affaiblissent et débilitent, climat qui accable... il fait avec ! Si certains chevaux dédiés au rassemblement du bétail portent encore les caractéristiques primitives propres aux ânes : rayures sur les genoux et les jarrets, raie de mulet et croix de Saint-André, ils sont aussi probablement croisés avec la race Campolina. Le Mangalarga paulista a développé une 4ème allure, la marcha, ou l'amble.
D'ailleurs, les rares populations de chevaux féraux vivent dans des milieux plutôt désertiques : les Mustangs nord-américains, les Brumbies australiens, les chevaux du Namib... Certaines races sont parfaitement adaptées aux climats secs voire sahéliens : l'Arabe, le Barbe, l'Arabe-Barbe, le Pur Race Espagnole, l'Akhal-Téké... et les dernières races primitives survivantes sont celles des steppes et des plaines, le Prezwalski, le Konik, le Tarpan... ainsi que les ânes : l'âne de Nubie et l'onagre. Anes et chevaux sont mieux sur sols durs.
Une des rares races à barboter dans les marais est le Camargue.
... et les zébus ou race brahmane, originaire d'Inde qui s'acclimate aussi bien dans les régions désertiques que dans les pâturages noyés.
Et tout ce petit monde vit en bonne intelligence avec les urubus, les jacanas, les caracaras, les aigrettes, ou encore avec les caïmans à lunettes. Chevaux et vaches sont généralement gris ou alezans sur Guatemala.
Passée au reflex il y a 7 ans, et donc 7 ans que mon objo macro m'accompagne et m'a permis des portraits, des photos de paysage et ce pour quoi il est conçu. Lentilles un peu champignonnées, ce qui ne l'empêche pas de continuer de bien travailler.