28 octobre 2020
Y'a pas de miracle
Des traces anciennes et plus récentes se chevauchent : il est passé puis repassé, au petit matin sans doute ou dans la nuit, pour les plus fraîches.
Photos 300mm et smartphone
Le coin est très régulièrement pratiqué : on voit bien au sable foulé de nombreuses traces de passage.
Cela faisait bien 6 ans que je n'étais pas revenue sur cette piste blanche. J'y passais déjà rarement, mais presqu'à tous les coups j'y trouvais des traces de jaguar ou de puma. Pas de surprise : quand la zone est ultra sécurisée et surveillée, que les gens, mais surtout les chasseurs, n'y ont que difficilement accès, la vie reprend ses droits et, redevenue souveraine, n'a besoin de personne, et les super-prédateurs d'aucun plan de sauvegarde.
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